La
Rédemption de la Vie el la Justification
Au contraire de ce que beaucoup de chrétiens
croient aujourd’hui, les fréquentes références des apôtres à l’histoire de la
création du livre du Genèse pour soutenir leur arguments, témoignent qu’ils ne
la considéraient pas un récit mythique; car cette histoire, non seulement
inclut la première prophétie messianique, (Genèse
3:15), mais les événements considérés dans les trois premiers chapitres du
livre, son ceux qui dévoilent la cause
de la mort et la nécessité d’une rédemption pour l’homme, c’est-à-dire, les
faits qui justifient l’arrivé de Messie et basent l’entier message biblique.
L’apôtre Paul
écrit aux disciples: «Comme par cause du premier homme, le péché s’est introduit dans le
monde, par cause du pêché, la mort s'est étendue à tous les
hommes, parce qu’ils ont tous hérité le péché... donc la mort régna aussi
sur ceux qui n’avait pas commis une transgression comme celle d’Adam…» (Romains
5:12 et 14), et: «C’est écrit que le premier Adam a
été fait une âme vivante (ou un être vivant), tandis que le dernier
Adam, un esprit donneur de vie» (1Corinthiens 15:45).
Sur le Mont Sinaï, Dieu manifesta sa gloire à
Moise, et il écoutât une voix qui déclarait: «Yahúh, Yahúh! Un Dieu
miséricordieux et clément, lent à la colère et généreux en son amour et sa
loyauté, qui garantit son amour fidèle aux milliers, et pardonne la méchanceté,
la révolte et la transgression, quoiqu’ils ne restent pas sans peine, car les
erreurs des parents sont sur (affectent) leur fils et les fils
des fils, jusqu'à la troisième et la quatrième génération» (Exode 34:6…7). Et en fait, l'erreur d'Adam avait
influencé la vie de ses fils et tous leurs descendants, privant l'humanité de
la vie.
Ainsi, considérant
le destin de l’homme, le roi Salomon écrit: «pour ceux qui appartient aux
vivants, l’espérance existe; un chien vivant est mieux qu’un lion mort, car
ceux qui vivent savent qu’ils doivent mourir, mais ceux qui sont morts ne
peuvent plus rien savoir, car ils n’ont plus rien, et sa mémoire s’oublie… Tout
ce que tu as la possibilité de faire, fais-le, parce que il n’y à pas d’œuvres,
de comptes, de science ni de connaissance, au sheol (sépulture) où tu vas» (Ecclésiastes
9:4…5 et 10).
Dieu avait déclaré à l’homme: «tu retourneras au sol d’ont tu as été tiré, car tu est poussière et tu retourneras à la poussière» (Genèse
3:19).
Adam a été
fait une «âme», un vivant, car la parole ‘nephesh’, traduite comme âme,
est un mot hébreu qui veut dire «être» ou «vivant», et peut s’appliquer
aussi bien aux personnes que aux animaux. A cause de son attitude, il perdit la
vie et l’humanité vient au monde pour mourir et retourner à la poussière. Aucun
ne peut «racheter son frère ou
présenter à Dieu son propre rançon, parce que le prix de la vie est si élevé,
que jamais nous ne pourrons l’atteindre et continuer à vivre sans ne plus voir
la fosse».
(Psaume
49:7…8)
Malgré cela,
les Écritures parlent souvent de la
promesse un retour à la vie, qui ne serait pas nécessaire si
abandonnant son corps, l’homme serait toujours vivant sous
n’importe quel autre aspect matériel ou immatériel.
Le rachat de la vie exigeait donc une valeur que l’homme, limité par sa
tendance au péché, ne pouvait pas fournir, mais puisque l’humanité n’avait pas «été soumise à la futilité
de sa propre volonté, mais à cause de celui qui désobéit», Dieu lui donna «l’espérance d’être libérée de
l’esclavage à la mort, pour participer de la glorieuse liberté des fils de Dieu». (Romains 8 :20…21) Moise déclare dans le livre de Job,
que même
si l’être de l’homme «s'approche à la fosse et
sa vie à la destruction, s'il y avait pour lui un ange propice,
un parmi les milliers; un médiateur qui soutenait sa justification,
un qui en lui montrant compassion, déclarerait: ‘J’ai trouvé pour lui une rançon! Délivre-le donc de descendre à la fosse!’ Alors sa chair
deviendrait plus fraîche que dans l’âge de sa vigueur et il retournerait aux
jours de sa jeunesse. Il invoquerait Dieu et Dieu l’écouterait et lui
manifesterait sa faveur avec joie, car l’homme serait restitué à la
rectitude»
(Job 33 :22…26).
Cela signale que seulement un des fils de Dieu
qui n’était pas touché par les effets du péché, pouvait verser la valeur du
rachat de la vie de l’homme. Ainsi, quand le moment arriva, l’aîné de la
création de Dieu se proposa pour reconduire les hommes vers la volonté de leur
Créateur, offrant leur la rédemption et l’opportunité de récupérer l’originel
vie sans mort. Les Psaumes lui attribuent ces paroles qu’il dirige à son Dieu
et Père: «Tu n'as pas voulu ni sacrifices
ni offrande, mais tu m’as fait un messager. Tu ne demandes pas holocaustes ni
offrandes pour les péchés, alors j'ai dit: ‘Me voici; dans le rouleau du
livre on a écrit de moi. Je vais
pour accomplir avec joie, mon Dieu,
ta volonté. Ta loi est en moi; j’annoncerai
la justice entre un grand peuple, je ne retiendrai pas mes lèvres, Yahúh, tu
sais bien que je ne garderai pas ta justification seulement pour moi,
j’annoncerai ta rédemption et ta
fidélité et je ne cacherai pas au grand peuple ta miséricorde et ta véracité» (Psaume 40:7…11)
Et appliquant les paroles de ce Psaume à Jésus,
Paul écrit: «Quand
le Christ vient au monde, il dit: ‘Tu ne t’es pas complut en sacrifices ni
offrandes, mais tu m’as formé un corps. Tu n’as pas approuvé holocaustes ni sacrifices
pour le péché, alors j'ai dit: ‘Me voici, dans le rouleau du livre on a écrit
de moi, je vais pour faire, Oh mon Dieu, ta volonté’ Et après avoir dit ‘Tu ne
t’es pas complut en sacrifices ni offrandes, ni en holocaustes et sacrifices
pour le péché’, même s’ils s’offrent tous selon la Loi, il continue: ‘Me voici, je vais pour accomplir ta volonté’; comme ça il annule les premiers
pour établir le second, et précisément par cette volonté, nous avons été
purifiés par l’offrande du corps de Jésus Christ, qui a été faite une seule
fois et pour toujours» (Hébreux 10:5…10).
Et «maintenant»,
dit Paul «on nous a donné à
connaître comment Dieu accorde la
justification que la Loi
et les Prophètes déclarent, celle que Dieu accorde par la foi en Christ, et
qui est accessible à tous ceux qui ont la foi, sans distinctions, puisque ils
ont tous péché et ils sont privés de la gloire de Dieu, ils sont tous justifiés
gratuitement par son don généreux: la rédemption de Jésus Christ; car la foi
dans le pouvoir rédempteur de son sang, est la base pour que Dieu, par sa miséricorde, nous
attribue la justification» (Romains 3:21…25).
Et puisque Dieu considère comme rectitude la
foi volontairement exercée dans son dessein, l’homme peut être justifié et récupérer son rapport avec lui pour
obtenir une résurrection à la vie sans
mort, parce que si «le salaire du péché est la
mort… le généreux don de Dieu par
médiation de Jésus Christ, est la
vie éternelle» (Romains 6:23).
Isaïe
écrit sur rôle du Messie: «Yahúh a voulu admettre
un sacrifice d’expiation et l’exposa à la douleur, mais lui verra sa
descendance et perpétuera ses jours, parce que dans ses mains, le dessein de l’Éternel réussira. Il
contemplera satisfait les travaux de sa vie, car par son discernement, mon fidèle serviteur justifiera une
multitude et portera leurs transgressions. Ainsi je lui prendrai des
camarades entre la multitude et il partagera le triomphe avec ces puissants, puisqu’il a versé sa vie jusqu'à la mort et
il a été conté avec les coupables,
mais il a porté les transgressions d’une multitude et il a intercédé en faveur
des transgresseurs» (Isaïe 53: 10…12).
Vraiment, aujourd’hui, comme aux temps de Paul,
«ce sacrifice est un absurde pour ceux
qui périssent… mais puisque par son raisonnement, le monde n’a pas arrivé à la
connaissance de Dieu, Lui, dans sa sagesse, a
juge approprié sauver ceux qui croient, par moyen de ce qui est considérée
absurde: les choses que nous déclarons… alors que les juifs exigent des
preuves et les grecs poursuivent leur savoir, nous proclamons le
sacrifice du Christ: un obstacle pour les juifs et un absurde pour les
nations»
(1Corinthiens 1:18…23). Cependant, par moyen de la foi, nous
comprenons que si «par une seule transgression,
la peine s’est étendue à tous les hommes, par un seul acte de justice, la justification qui donne la vie s’étend
à tous les hommes, et que si par la transgression d’un seul homme, beaucoup ont
été constitués transgresseurs, par l’obédience d’un seul homme, beaucoup sont
aussi justifiés» (Romains 5:17…18).